– REMERCIEMENTS –

La grande majorité des informations dévoilées au travers de cette histoire sont historiques et ont fait l’objet de plusieurs recoupements journalistiques.

 

Vous pourrez le vérifier par vous-mêmes en fouillant notamment sur Internet. Vous y trouverez, entre autres, l’intégralité du rapport officiel du sénat américain (3 août 1977), dévoilant en détail la nature des expérimentations secrètes du projet MK-Ultra, de multiples sites révélant l’histoire militaire de la fascinante et méconnue île de l’Ascension, ainsi que de nombreuses informations sur le triste passé psychiatrique de l’hôpital de Gaustad.

 

Bien évidemment, mes recherches ne se sont pas cantonnées à une collecte digitale et les bons vieux livres m’ont apporté ce savoir qui fait la différence. Les ouvrages de Carl Gustav Jung m’ont permis d’explorer en profondeur le troublant concept d’archétypes et d’inconscient collectif, sa biographie m’a prouvé son rôle d’agent secret pour la CIA sous le matricule 488. Dans un autre registre, je ne peux que vous conseiller la lecture d’ouvrages consacrés à la matière noire au risque de vous provoquer quelques peurs vertigineuses.

 

Et des peurs, j’en ai connu au cours de l’élaboration de cet ouvrage. Je tiens donc à remercier tous ceux qui m’ont aidé à les surmonter. En premier lieu ma femme, Caroline, dont l’amour, l’enthousiasme et la confiance sont inépuisables, aussi bien dans la vie qu’en tant que première lectrice. Eva et Juliette, nos deux filles, qui donnent du sens à tout ce qui n’en a pas. Ma mère pour sa foi en moi. Mon frère pour son soutien indéfectible. Mon père pour son impatience dès le premier mot écrit. Et mes amis pour leur présence, leur regard et leurs francs conseils au long de ces quatre années de fabrication. Merci aussi à tous mes bêta-lecteurs pour leur temps et leur générosité.

 

Et enfin, un merci infini à l’équipe « littéro-médicale » de XO pour avoir fait de cette histoire une réalité. Leur chirurgien en chef, Bernard Fixot, qui appuie là où ça fait mal jusqu’à ce que le livre soit parfaitement guéri, son anesthésiste, Édith Leblond, qui œuvre en douceur pour aider le patient à moins souffrir, et Caroline Ripoll, la sage-femme, qui parvient à faire de l’accouchement du roman un moment presque plus agréable que la conception.

 

Et à vous d’avoir eu la curiosité de lire jusqu’ici.