II
Au même instant – saura-t-on jamais pourquoi ? – le sépulcral Ducreux se mit à jacasser, jacasser : telle une nichée de jeunes pies borgnes.
L’abus des boissons fermentées ? ou si c’était quelque autre surexcitation cérébrale ?
Quoi qu’il en soit, cette bruyance nous anormalisa tant et tant, que d’une clameur commune nous dîmes :
– Tiens ! Ducreux n’est donc pas là ?
III
(Comme je vous ai averti plus haut, c’est une histoire d’été.)