Ladies richissimes, jolies intrigantes et danseuses célèbres ; puissants
industriels, princes étrangers et membres du gouvernement... Voilà le
monde que côtoie Hercule Poirot. Car il ne veut s'occuper que d'affaires
extraordinaires, scandaleuses, délicates ; de crimes à la hauteur de
son incomparable intelligence. Et tandis qu'à Scotland Yard les
infortunés inspecteurs battent la campagne à la recherche d'empreintes
de pas ou de mégots de cigarettes, Poirot s'installe dans son fauteuil
où, une tasse de chocolat fumant à la main, il pense. Et comme par
magie, le mystère s'éclaircit. C'est cela, le génie !
Que de remous dans ce pensionnat de jeunes filles renommé qu'est
Meadowbank : des professeurs y trouvent la mort dans des circonstances
qui dépassent l'entendement. Le coupable est-il un sadique, ou un membre
du personnel ? Les crimes sont-ils liés à la présence d'une jeune
princesse orientale ? Y a-t-il une corrélation entre eux et un certain
petit paquet de grande valeur qu'on n'arrive pas à retrouver ?
Lady Edgware ne supporte pas la contradiction. Et son mari lui donne
bien du souci. D'abord, il a un caractère impossible. Ensuite, il refuse
de divorcer. Très ennuyeux... Car lady Edgware a justement l'intention
de se remarier. Que faire ? Mais charger Hercule Poirot de la
débarrasser du gêneur, bien sûr ! N'est-il pas le grand spécialiste des
affaires criminelles ? Lady Edgware aurait tendance à confondre tueur à
gages et détective que Poirot n'en serait pas autrement surpris. Mais
peu importe, après tout. Puisque le mari a fini par se résigner. Il
vient d'avoir la bonne idée de mourir. Assassiné. Contrariant, lord
Edgware ? Les femmes sont ingrates...
Alors qu'il rentre de mission et compte s'arrêter quelques jours à Istanbul, Hercule Poirot est rappelé d'urgence à Londres. On est en hiver et à cette époque de l'année, l'Orient Express roule habituellement quasiment à vide. Pourtant, sans l'aide du directeur de la compagnie, Hercule Poirot n'aurait pas trouvé de place à bord, comme si tous les voyageurs s'étaient donné rendez-vous dans ce train ! Dès la première nuit, un homme est assassiné. Le train est immobilisé par la neige qui empêche l'assassin de s'enfuir. Dans les wagons isolés du reste du monde, Hercule Poirot, au sommet de son art, mène l'enquête. Et ce ne sont pas les pistes qui manquent !
Chef-d'oeuvre incontesté de la littérature policière Le Crime de l'Orient Express présente une intrigue bouleversante, admirablement conçue et orchestrée. Pas un détail n'est laissé au hasard. Du sur mesure pour les petites cellules grises du précieux détective Hercule Poirot qui vit ici l'une de ses plus célèbres enquêtes. http://www.amazon.fr/Crime-lOrient-Express-Agatha-Christie/dp/2253010219
Une fois n'est pas coutume, cette enquête d'Hercule Poirot nous mène en France d'où M. Renauld - un monsieur qui semble avoir des moyens - a lancé un S.O.S. impérieux au détective. Une limousine attendra Poirot et son ami Hastings à Calais... Mais à Calais, point de limousine : c'est que M.Renauld a été assassiné
dans la nuit. On l'a trouvé lardé de coups de couteau dans le dos, au fond d'une tombe ouverte, creusé dans un terrain de golf...
L'enquête ne sera pas facile : M. Renauld était bien discret sur son passé en Amérique du Sud ; et bien mystérieuses sont les deux femmes qui, aux dires des domestiques, le rencontraient souvent le soir... Mais Poirot est là, furetant partout, à récolter le moindre indice...
Un futur meurtre reflété dans un miroir ; un héritier gênant changé en matou docile ; une religieuse qui tue à distance et à volonté…Ces histoires-là auraient pu être des énigmes policières ; elles en ont la construction, le suspense… Pourtant, les limiers de Scotland Yard y chercheraient en vain les indices chers à leur cœur. Ici, point de traces de pas, d’emplois du temps truqués ou de mégots tachés de rouge. Les Esprits sont bien au-dessus de nos contingences de simples mortels…Avec un talent insoupçonné, Agatha Christie plonge dans le fantastique…
Gordon Cloade est mort fort à propos sous les décombres de sa villa
ravagée par le blitz. Il laisse à sa jeune veuve, Rosaleen, une fortune
colossale et cela, évidemment, ne fait pas l'affaire du clan Cloade qui
se voit, d'un seul coup, spolié par l'intruse. Or, le bruit court que le
premier mari de Rosaleen ne serait pas mort, ce qui, bien entendu,
aurait pour effet d'annuler le second mariage... Ces situations troubles
sont pain bénit pour les maîtres chanteurs. En voici justement un qui
fait chanter la jeune femme. Pas très longtemps : en lui portant son
breakfast, la petite bonne de l'auberge où l'individu est descendu
trouvera, dans sa chambre, un bien vilain spectacle...
Puisqu'il est le médecin du village, Sheppard est l'un des premiers, naturellement, à constater la mort étrange qui frappe successivement M. Ferrars, puis sa veuve, enfin Roger Ackroyd avec lequel elle devait se remarier... Le voici associé à la fascinante enquête que mène, impromptu, un certain Hercule Poirot - " énorme moustache " et " yeux inquisiteurs " - qui passe là sa retraite et " cultive des citrouilles " ! Chacun, à sa manière, semble bien être mêlé à ce mystère ; mais " il n'est pas facile de cacher quelque chose à Hercule Poirot, car il a l'habitude de tout découvrir ".
Chacun sait qu'Hercule Poirot est le plus grand détective de tous les
temps. Un homme se suicide quelques heures après lui avoir demandé
assistance ? Allons donc ! Ce serait trop facile, et le petit belge sait
bien que personne ne fait appel à lui sans raison... Pour lui, rien de
plus facile que de déjouer les jeux de glaces, voir au-delà du miroir et
faire faillir la réalité des apparences. Le Miroir du mort, Feux
d'artifice, L'invraisemblable vol : des nouvelles où le génie de la
déduction d'Hercule Poirot s'en donne à cœur joie.
Ces douze nouvelles n'appartiennent pas à proprement parler à la littérature policière mais toutes traitent avec brio de situations étranges, ou évoluent autour d'un meurtre. Chacune, dans sa brièveté, est une comédie complète ou un drame, et aucune ne ressemble aux autres, sinon que la plupart, quel que soit le mystère qu'elles distillent, se terminent par un éclat de rire.Ce recueil a déjà été publié précédemment au Masque sous le titre Douze Nouvelles.
Personne ne remarque jamais la présence de Mr Satterthwaite, ce vieux gentleman aimable et effacé. Pourtant, on aurait tort de le prendre pour un personnage falot. Invité dans les manoirs de la gentry, en villégiature sur la Riviera... où qu’il aille, des drames éclatent.
Spectateur discret et attentif, il n’attend que le signe de Mr Quinn pour entrer en scène. Ensemble, ils démasquent les coupables et innocentent les victimes. Ensemble ? Satterthwaite serait-il plu qu’un instrument entre les mains de Mr Quinn ? Le mystérieux Mr Quinn, dont le visage reste toujours dans l’ombre... l’homme providentiel, le justicier insaisissable...
Pour la première fois depuis vingt ans, le vieux Simeon Lee a
décidé de réunir tous ses enfants pour les fêtes de fin d'année. Le 24
décembre, on le trouve sauvagement assassiné dans sa chambre. Tout le
monde, évidemment, détestait ce vieillard cynique : Alfred et sa femme
pour la tyrannie qu'il exerçait sur leur couple, Harry pour les
humiliations dont il a abreuvé sa mère, Georges pour la rente - trop
parcimonieuse à son goût - qu'il lui sert, Harry, le fils prodigue, pour
le mépris dans lequel il le tient. Et puis il y a ce mystérieux M. Farr
qui vient d'Afrique du Sud. Et la jeune Pilar, la petite-fille
espagnole, n'a-t-elle pas déclaré froidement que, si elle avait un
ennemi, elle n'hésiterait pas à lui trancher la gorge ? Vraiment le
vieux Simeon n'aurait pas dû faire part devant tout le monde de son
intention de modifier son testament, il n'aurait pas dû faire cette
scène détestable à ses enfants réunis, il n'aurait peut-être pas dû
faire devant Pilar étalage de ses diamants...
Allant dans la même direction et presque à vitesse égale, les deux
trains semblaient disputer un match.
Mrs McGillicuddy, pour se
distraire, regardait les occupants qui s'offraient à sa vue, mais ce
qu'elle vit lui arracha un petit cri. Debout, le dos tourné, un homme
serrait la gorge d'une femme ; il l'étranglait. Le hasard voulu que le «
16 h 50 » ralentît et que le train « parallèle » le dépasse,
disparaissant dans la nuit.
Un cadre bien délimité - le Vallon, propriété de la toujours belle Lucy Angkatell ; des suspects en nombre restreint ; pour Hercule Poirot, l'assassinat du médecin John Christow pourrait ressembler aux affaires dont il a l'habitude.
Mais, cette fois-ci, tous les indices mènent à des impasses, tous les soupçons se révèlent injustifiés. Comme si une intelligence non moins redoutable que celle du petit détective à moustaches s'appliquait à brouiller les pistes.
Qui veut-on donc protéger ? Et pourquoi ? Le lecteur ne le saura qu'aux dernières pages. Et Poirot s'inclinera devant un adversaire à sa mesure.
Lorsque, par un brouillard dense près de la côte sud du Pays de Galles, un inconnu entraîne sa voiture dans un fossé, il découvre une femme, un revolver à la main, penchée au-dessus du corps sans vie de son époux, paralytique en fauteuil roulant. Elle avoue l'avoir tué, et l'invité inattendu lui offre alors de concocter une histoire pour la couvrir. Mais après tout, serait-il possible que Laura Warwick n'ait pas commis ce meurtre? en ce cas, qui protège-t-elle? La maison semble remplie de suspects potentiels.
Du fond de son fauteuil où elle se tient très droite tandis que ses
mains tricotent, une vieille demoiselle pleine de malice écoute ses amis
- un colonel et un haut fonctionnaire de Scotland Yard, tous deux à la
retraite, un vieux pasteur et un médecin plein d'expérience, une
charmante actrice - raconter treize étranges histoires où glisse l'ombre
d'un criminel inconnu. Et toujours miss Marple le découvre, ce
criminel, parce que, dit-elle avec modestie, elle a beaucoup observé les
petites gens de son village et que la nature humaine est partout la
même.
«Richard Abernethie est décédé brusquement chezlui d'une crise
cardiaque. » C'est ce qu'ont écrit les journaux. Tous les proches sont
accourus pour les obsèqueset tout se serait passé très correctement si
cette écervelée de Cora n'avait bêtement demandé : « Il a bien été
assassiné, n'est-ce pas ? » Cette question incongrue jette, évidemment,
un froid dans la réunion de famille.Six ou huit coups de hache assenés,
dès le lendemain, par une main anonyme sur le crâne de la bavarde, et un
peu d'arsenic fourré dans le gâteau de sa dame de compagnie,
justifieront l'intervention d'Hercule Poirot. Son fameuxsens de la
déduction prouvera que la petite question deCora n'était pas si sotte.
Miss Pebmarsh a bien failli mettre le pied dessus. Même, elle l'aurait
piétiné, ce cadavre, si Sheila n'avait pas crié. Que voulez-vous : Miss
Pebmarsh est aveugle et elle a été bien surprise d'apprendre qu'il y
avait le corps d'un inconnu derrière son canapé. Et d'abord, que fait
Sheila chez elle jamais, au grand jamais elle n'a demandé à l'agence où
travaille la jeune fille qu'on lui envoie une dactylo. Et d'où viennent
toutes ces pendules - toutes en avance d'une heure - qui encombrent les
meubles de son salon ? Avec Hercule Poirot comme conseiller technique,
un jeune et beau garçon, mystérieusement attaché à quelque service
secret, saura tirer de cet inextricable imbroglio le fil qui mène au
meurtrier.
Quels Quatre ? S'agit-il d'un
quatuor musical ? Des quatre grands ? Du Pacte à quatre ?
Oh non !
Tout cela ne saurait constituer matière à enquête pour l'illustrissime
Hercule Poirot... Et les Quatre en question sont des adversaires à sa
mesure : un quatuor criminel ! Une bande de criminels internationaux
dont le but n'est rien moins que de s'assurer la domination du monde...
Bigre ! Voilà des ennemis comme le célèbre détective n'aurait osé en
rêver... Et une rude bataille en perspective !
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